- Résumé du Budapest Major 2025
- Vitality : de difficultés en domination à Budapest
- FaZe Clan : d’un début complique à une nouvelle grande finale
- NAVI : battre les favoris et leurs démons
- FURIA, Falcons, MOUZ, Spirit : grandes équipes, grandes déceptions
- Ce que ce Major change pour la scène CS2
- CS2 skins et inventaire : profiter de la hype du Major
- Conclusion et perspectives pour 2026
Résumé du Budapest Major 2025
Le StarLadder Budapest Major 2025 restera comme l’un des tournois les plus marquants de l’ère CS2. Les pronostics se sont effondrés, les favoris ont chuté, et au final, Team Vitality soulève un troisième trophée majeur dans l’histoire de l’organisation, et un deuxième consécutif sur CS2 avec ce cinq.
Face à une concurrence composée de FURIA, FaZe, NAVI, MOUZ, Spirit, Falcons et The MongolZ, Vitality a connu :
- un début de playoffs facile contre The MongolZ,
- un gros passage à vide contre Team Spirit,
- une finale renversée face à FaZe après un Nuke catastrophique.
Ce Major n’a pas seulement consacré Vitality. Il a aussi confirmé que :
- FaZe reste l’un des noyaux les plus constants de CS2, malgré les doutes,
- NAVI est capable de faire tomber les plus gros favoris,
- les équipes annoncées imbattables (FURIA, Falcons, MOUZ, Spirit) peuvent s’écraser mentalement aux playoffs.
Pour les joueurs et fans, ce genre d’événement est aussi un moment clé pour tout ce qui concerne l’écosystème CS2 : méta, cartes, stratégies, mais aussi commerce de skins et valeur des inventaires. On y reviendra dans une section dédiée avec un focus sur les plateformes sécurisées comme csgo skin et skins csgo.
Vitality : de difficultés en domination à Budapest
Une entrée en playoffs idéale contre The MongolZ
Le parcours de Vitality en playoffs commence par ce que beaucoup considéraient comme le quart de finale le plus abordable. The MongolZ, arrivés en playoffs avec un nouveau joueur et une saison très irrégulière, n’avaient déjà pas grand-chose à perdre.
Sur le serveur, la différence d’expérience et de structure saute aux yeux :
- Vitality impose son rythme dès les premiers rounds,
- les exécutions T sont propres, millimétrées,
- la discipline en CT ne laisse aucun espace à l’agressivité mongole.
Ce match ressemble presque à un scrim de luxe pour Vitality : l’équipe prend confiance, les timings se calent, la communication se fluidifie. Mais cette facilité va créer un contraste brutal avec la suite.
Le choc face à Spirit : un test mental décisif
Le vrai premier mur s’appelle Team Spirit. Les Russes arrivent en quarts avec un jeu très explosif, porté notamment par donk, l’une des plus grosses étoiles mécaniques de CS2.
Sur la première carte, Vitality vit un début cauchemardesque :
- défense en retard,
- duels perdus en série,
- un sentiment que Spirit contrôle le tempo et les zones.
Il faudra trois prolongations pour que les Abeilles se rappellent qu’elles sont là pour gagner un Major, pas seulement pour participer. La fin de map est symptomatique : Vitality resserre les lignes, adapte son setup, et gagne les duels clés. La deuxième carte penche nettement plus en leur faveur : Spirit, et surtout donk, semblent submergés par la pression. Le mental craque au pire moment.
Ce match est un tournant :
- Vitality prouve qu’elle sait remonter des situations mal engagées,
- le cinq montre qu’il peut gérer des joueurs ultra agressifs sans dérailler,
- la solidité collective prime sur les individualités adverses.
La finale contre FaZe : humiliation sur Nuke, vengeance sur Overpass
La grande finale oppose FaZe Clan à Team Vitality, un duel au parfum de classique moderne. Beaucoup se souviennent de leurs affrontements précédents, et des best-of-ones où Vitality paraissait désynchronisée en début de tournoi.
Sur Nuke, le scénario semble se répéter :
- FaZe écrase les débats dès le pistol,
- les rotations Vitality arrivent trop tard,
- même ZywOo manque des shots d’AWP qu’il rentre d’habitude en dormant.
Cette première carte ressemble à une véritable correction. Mais, à partir de Dust II, la dynamique se renverse :
- Vitality retrouve son huilage habituel,
- le mid control devient le terrain de jeu favori des Abeilles,
- les prises de zones rapides et les splits sont parfaitement timés.
Sur Inferno, le match reste plus disputé, mais Vitality donne l’impression de monter en puissance à chaque side. Et sur Overpass, c’est l’apothéose : un 13‑2 sec, net, sans appel. FaZe se retrouve à court d’idées, étouffé par une défense parfaitement en place et une attaque qui choisit les duels et les timings idéaux.
Vitality quitte Budapest avec :
- un troisième Major au palmarès de l’organisation,
- un deuxième titre consécutif sur CS2 pour ce roster,
- un statut assumé de dynastie potentielle face au record d’Astralis (quatre Majors).
FaZe Clan : d’un début compliqué à une nouvelle grande finale
Stage 1 : les difficultés et les doutes
Quand on regarde le parcours global, on pourrait croire que FaZe a été solide de bout en bout. Pourtant, le Stage 1 raconte une autre histoire. L’équipe peine face à des adversaires jugés plus faibles, enchaîne les matchs serrés, et se qualifie de justesse pour le Stage 2.
Côté communauté, la réaction est immédiate :
- des débats sur de possibles changements de roster,
- des critiques ciblées sur jcobbb,
- des doutes sur la capacité de FaZe à tenir au plus haut niveau de CS2.
Stage 2 et Stage 3 : FaZe enclenche la deuxième
La réponse arrive dès le Stage 2 : FaZe retrouve un jeu bien plus propre, avec un karrigan inspiré dans le calling et des rifleurs qui se réveillent. Les victoires s’enchaînent, et l’équipe réussit même à battre Vitality en ouverture du Stage 3, certes dans un BO1, mais c’est un signal fort.
Ce succès rappelle que FaZe a une capacité rare à monter en puissance au fil du tournoi. Leur map pool actif, combiné à leur expérience des grandes scènes, les rend redoutables dès que la machine commence à tourner.
Playoffs : destruction de MOUZ et comeback légendaire contre NAVI
En quarts, FaZe affronte MOUZ, une équipe souvent présente en finales cette saison mais incapable de conclure. Beaucoup s’attendent à un match serré. En réalité, c’est un one-way show :
- domination totale de FaZe,
- un 13‑2 sur Inferno qui résume le rapport de force,
- MOUZ jamais vraiment en mesure de s’installer dans la partie.
La demi-finale contre NAVI est l’inverse : un scénario de comeback épique. NAVI commence mieux, prend les devants, mais FaZe revient porté par :
- des prises de décision individuelles monstrueuses,
- un karrigan qui garde son calme dans les rounds cruciaux,
- une gestion parfaite de l’économie et des clutches.
Qualifier FaZe pour une troisième finale de Major CS2 sur quatre éditions est déjà un accomplissement colossal. Il ne leur manque qu’un dernier push pour concrétiser cette régularité en plusieurs titres.
NAVI : battre les favoris et leurs démons
Une saison irrégulière avant le Major
NAVI arrive à Budapest dans un contexte complexe. L’équipe doit passer par le Stage 2, ce qui est un statut relativement bas pour un tel mastodonte historique. Leur saison 2025 en dit long :
- top 4 à IEM Cologne,
- mais aucune victoire à IEM Chengdu, juste avant le Major.
Cette irrégularité fait naître de nombreux doutes, tant chez les fans que chez les analystes. Pourtant, le Budapest Major va montrer un autre visage de NAVI.
Quart de finale contre FURIA : exorciser le reverse sweep
En quarts, NAVI affronte FURIA, désignée par beaucoup comme grande favorite du Major après une série de trophées gagnés en amont. En toile de fond, un traumatisme : la reverse sweep subie face à FURIA en finale du Thunderpick World Championship 2025.
La dimension mentale est évidente :
- FURIA a la confiance et un style de jeu hyper agressif,
- NAVI doit gérer à la fois la pression du Major et ses mauvais souvenirs,
- la communauté s’attend à voir NAVI s’écrouler.
Ce qui se produit est tout l’inverse. Malgré une remontée démente de FURIA sur Inferno, NAVI tient bon, gagne les rounds charnières et finit par s’imposer. Ils viennent de :
- faire tomber les favoris numéro un de l’événement,
- briser un blocage mental important,
- se prouver qu’ils peuvent battre FURIA dans un match à haute pression.
La démi-finale contre FaZe : un match que NAVI aurait pu (ou dû) gagner
En demi-finale, NAVI démarre très fort contre FaZe. Le jeu est fluide, les exécutions propres, la confiance palpable. Mais l’histoire se répète : incapacité à finir le travail quand l’adversaire commence à remonter.
Ce match met en lumière :
- une difficulté à gérer les retours adverses,
- une tendance à se crisper dans les moments de clôture,
- l’impact des performances individuelles de FaZe dans les rounds les plus importants.
Malgré la défaite, le Budapest Major reste une campagne positive pour NAVI : ils ont corrigé certains démons, et prouvé qu’ils peuvent éliminer les plus grandes menaces du circuit.
FURIA, Falcons, MOUZ, Spirit : grandes équipes, grandes déceptions
Falcons : de grands espoirs à une douche froide
Les Falcons arrivaient à Budapest avec le plein de confiance après une finale au BLAST Rivals Fall 2025. Sur le papier, l’équipe semblait armée pour un deep run au Major.
Mais en quarts de finale, le choc contre Team Spirit tourne court. La défaite, notamment un 4‑13 sur Nuke, illustre un énorme écart de maîtrise dans les moments clés :
- exécutions brouillonnes,
- manque de réactivité face aux adaptations de Spirit,
- fragilité mentale quand le score commence à déraper.
FURIA : de favori à éliminé prématuré
FURIA était l’équipe à abattre. Leur pré-Major est impressionnant, avec plusieurs trophées et un Stage 3 dominé, ponctué de grosses victoires contre NAVI et G2.
Mais en playoffs, face à ce même NAVI, la dynamique change :
- leur style très agressif devient prévisible par séquences,
- la défense de NAVI lit mieux les timings,
- la remontée sur Inferno reste spectaculaire mais insuffisante pour retourner la série.
Pour une équipe annoncée comme future championne, l’échec est brutal et pose des questions sur la gestion de la pression.
MOUZ : une saison sans trophée, et un Major raté
MOUZ a passé l’année à approcher les titres sans jamais conclure. Budapest devait être l’occasion de briser la malédiction. Au lieu de ça, les fans assistent à une correction infligée par FaZe en quarts de finale.
Le contenu est décevant :
- peu de réponses stratégiques,
- des duels largement à l’avantage de FaZe,
- une impression d’équipe submergée par l’enjeu.
Dans un Major où la méta semble leur convenir, ce résultat fait tâche.
Team Spirit : l’occasion ratée contre le meilleur
Enfin, Team Spirit peut nourrir de gros regrets. Capables de mettre Vitality en grande difficulté sur la première carte de leur affrontement, les Russes ont montré qu’ils avaient les armes mécaniques et tactiques pour bousculer la meilleure équipe du monde.
Mais la deuxième carte illustre le côté sombre : le craquage émotionnel. Une fois bousculés, les joueurs ne parviennent pas à se réinitialiser, les erreurs s’enchaînent, les duels sont pris au désespoir.
C’est typiquement le genre de défaite qui peut servir de leçon si le staff et les joueurs travaillent spécifiquement le mental et la gestion de la pression.
Ce que ce Major change pour la scène CS2
Le Budapest Major 2025 n’est pas qu’un simple titre de plus pour Vitality. Il redessine une partie de la carte de la compétition CS2 :
- Vitality s’installe clairement comme dynastie potentielle, à un Major du record d’Astralis,
- FaZe confirme qu’ils sont faits pour les grandes scènes, même avec des débuts difficiles,
- NAVI montre qu’ils peuvent faire tomber les plus gros favoris mais doit apprendre à fermer ses matchs,
- FURIA, Falcons, MOUZ, Spirit rappellent que le talent et les titres pré-Major ne garantissent rien le jour J.
En parallèle, ce Major a aussi un impact sur :
- la lecture de la méta (valeur de cartes comme Overpass, Inferno, Dust II),
- l’importance de la flexibilité tactique (map pool large, adaptabilité in-game),
- la valorisation des performances individuelles à travers les contenus, clips et aussi les skins portés en match.
Pour les joueurs, l’envie est naturelle : rejouer les actions vues sur scène, reproduire les line-ups, et parfois même copier le style visuel des pros via les skins CS2.
CS2 skins et inventaire : profiter de la hype du Major
Pourquoi les skins sont si importants dans CS2 aujourd’hui
Avec la montée en puissance de CS2, la dimension cosmétique du jeu n’a jamais été aussi forte. Lors d’un Major comme celui de Budapest, chaque gros clutch, chaque action de ZywOo ou donk est décortiquée :
- on regarde la crosshair,
- on note les positions et nades,
- et on repère très vite les skins d’armes qui ressortent.
Un inventaire bien pensé n’améliore pas vos HS, mais il contribue à :
- renforcer votre identité en jeu,
- vous donner une motivation supplémentaire à grind,
- et potentiellement à faire fructifier votre collection avec le temps.
Sécurité et prix : pourquoi choisir une plateforme fiable comme UUSKINS
Le marché des skins CS2 / CS:GO est immense, mais tous les sites ne se valent pas. Il est crucial de passer par des plateformes reconnues, avec :
- un système d’échange et de paiement fiable,
- des protections claires contre l’arnaque,
- des prix compétitifs et transparents.
Des services comme csgo skin et skins csgo permettent aux joueurs francophones de :
- parcourir un catalogue très large d’armes, gants et couteaux,
- trouver des skins correspondant à leur budget,
- revendre ou faire tourner une partie de leur inventaire de façon simple.
Pour éviter les mauvaises surprises, il est recommandé de :
- toujours vérifier l’URL du site,
- activer l’authentification à deux facteurs sur Steam,
- ne jamais partager ses informations de connexion.
Construire un inventaire inspiré du Budapest Major
Si vous souhaitez profiter de la hype du Major pour améliorer votre inventaire, plusieurs approches sont possibles :
- Style équipe : choisir des skins en lien avec les couleurs ou stickers de votre équipe préférée (Vitality, FaZe, NAVI, etc.).
- Style joueur : reproduire les sets de certaines stars (AWP inspirée de ZywOo, AK/Rifle d’un rifler que vous admirez).
- Style carte : adapter les skins à la carte que vous jouez le plus (par exemple, un set vert pour Overpass, sable pour Mirage, etc.).
En utilisant une plateforme spécialisée, vous pouvez :
- tester différentes combinaisons sans exploser votre budget,
- revendre des skins qui ne vous plaisent plus,
- vous construire un inventaire cohérent et vraiment personnel.
Conclusion et perspectives pour 2026
Le StarLadder Budapest Major 2025 restera comme l’un des tournois où Vitality a affirmé son statut de légende. Avec trois Majors au total et deux consécutifs sur CS2, l’organisation est à un titre d’égale le record iconique d’Astralis. La question est sur toutes les lèvres : peuvent-ils faire mieux ?
Derrière eux, la hiérarchie se dessine :
- FaZe reste le specialiste des grandes finales,
- NAVI travaille encore sa finition mais montre un très haut plafond,
- FURIA, Falcons, MOUZ, Spirit devront transformer leurs leçons de Budapest en progrès concrets pour 2026.
Pour les joueurs, cette saison de Major est aussi l’occasion de :
- repousser leur niveau de jeu en s’inspirant des meilleures équipes,
- optimiser leur expérience via un inventaire de skins travaillé,
- suivre de près l’évolution de la méta et de la scène compétitive.
En attendant le calendrier complet de la saison CS2 2026, une chose est claire : Vitality a mis la barre très haut, et toutes les grandes équipes vont devoir hausser leur niveau si elles veulent inscrire leur nom à côté de celui des Abeilles dans l’histoire de CS2.












